Louison n. m. ['lwizon] Organisme bio-cellulaire complexe apparu en europe occidentale sous régime Pompidolien.

La lecture, l’écriture et le calcul maîtrisé, il s’élance tête baissée vers un avenir incertain, à peine ralenti par le premier choc pétrolier, un premier bilan s’impose:
Electrotechnicien, metteur au point chassis et moteurs.
Mécanicien puis chef de voiture de la Formule Ford à la F3000, 5 ans sur F3.
Constructeur des amplificateurs et enceintes acoustiques Louie’n Son.
Co-fondateur du Championnat Cantonal : 14 podiums en 19 participations.
Construction d’un outil infographie / publication ouaibe : le louison °L° chargé de communiquer les activitées satellisées autour du Louison.
Conception du ^Super Mecanic _Man^® affecté à la préparation, au développement et à la maintenance des chassis de sport et de compétition :

  - géometrie, comportement routier, pneumatiques, freinage, aéro...
  - injection, alimentation, allumage, lubrification, refroidissement...
  - transmission, boîte de vitesses, pont, autobloquant...
  - position de conduite, sécurisation, extincteur...
  - Conception-réalisation de faisceaux électriques chassis et moteur...
  - Cellule chrono, radio, aquisition et traitement de données...

  Le pilotage de Louison :
Bien que de précédentes expériences mécaniques l’aient amené à côtoyer des pilotes réputés à la technique indiscutable, Louison a préféré se lancer dans l’aventure de la conduite sportive de compétition sur circuit fermé sans idée préconçue.
Ainsi, il commence sa carrière dans le plus pur style "années 20". Accroché à son volant et se déhanchant dans les virages, il ne passe pas inaperçu dans le peloton du Championnat Cantonal pourtant riche en identités remarquables.
Cette approche non déterministe renvoie à Platon : il s’agit bel et bien d’un pilotage totalitaire.
Mais au fil des épreuves, l’expérience aidant, le Louison rentre dans le moule en même temps qu’il trouve chaussure à son pied. Equipé d’un double baquet qui épouse ses formes harmonieuses, il développe une sensibilité qui lui permet d’adapter chaque mouvement, chaque transfert de masse, chaque coup de rein, à la motricité de son engin et à l’adhérence du plancher des vaches.
En accédant au confort, Louison s’est du même coup débarrassé de toute angoisse. Il ne tergiverse plus et laisse son kart survirer ici pour mieux l’inciter au sous-virage là-bas. Son parcours sans cesse renouvelé vers le podium est désormais un fleuve tranquille, fluide, précis.
Psychiquement débarrassé de ses vieux démons, il lui reste à endosser le rôle que chacun s’attend à le voir jouer désormais : celui de guide, d’ambassadeur, d’exemple, d’icône pour toute une génération de jeunes pilotes. La réussite de ce vrai self-made-kartman ne peut que susciter et renforcer les vocations.